mardi 19 août 2008

Trois règles pour faire de l'argent sur Internet


aire de l'argent sur Internet n'est pas une tâche simpliste. Beaucoup de promesses et d'estimations généreuses mais peu de résultats tangibles et concrets. Cette finalité, l'objectif de "vivre grâce à Internet" qu'en fait nous partageons tous, prend énormément d'éléments stratégiques en considération.

Quels espoirs de faire fortune ?

Cette vision audacieuse ne s'appuie pas encore sur des modèles économiques fonctionnels avérés si l'on excepte les voies empruntées par quelques multinationales comme Yahoo, Lycos, Dell ou AOL qui ont su très tôt s'investir de façon massive sur Internet.

Elles récoltent aujourd'hui les fruits faramineux des graines qu'elles ont pris le risque de semer jadis, sous le regard incrédule de tous les jaloux d'aujourd'hui.

Certaines structures indépendantes ont néanmoins démontré la viabilité commerciale du réseau en adaptant rapidement leurs offres de service aux besoins concrets et quotidiens des utilisateurs d'Internet.

C'est vrai pour les sociétés de développement de logiciels, c'est vrai pour les prestataires de services en ligne (référencement, conseils, trading, etc...) et c'est toujours vrai pour les concepteurs et distributeurs de matériel informatique qui y ont crû au moment où il le fallait.

La mauvaise nouvelle, c'est que la barrière d'entrée sur le marché du online s'élève à une vitesse astronomique. Il n'est pas trop tard pour développer des affaires sur Internet mais :

  • Soit la campagne de lancement et la mise en place de la stratégie vont demander des ressources humaines, financières et technologiques considérables, ce qui limitera la compétition aux acteurs majeurs du monde économique.
  • Soit, dans le cas d'une entreprise aux moyens limités, le "business model" sera adapté d'un modèle existant ailleurs sur Internet. Son développement prendra alors du temps et ne pourra prétendre à générer des profits considérables. On retombera alors dans une vision beaucoup plus "classique" du monde des affaires et on progressera en CA, peut-être en part de marché, sans espoir fondé de faire fortune.
  • La troisième option, évidemment, celle qui garantie le "jack-pot", c'est de bien marketer une nouvelle idée lumineuse ou un concept révolutionnaire qui sache correspondre, à la fois, aux aspirations du marché et au timing précis où celui-ci est prêt à l'adopter. Le phénomène mondial engendré par la diffusion gratuite du logiciel ICQ, mis au point par la société israélienne Mirabilis, et le rachat immédiat de celle-ci par AOL, constituent un exemple parfait.

Faire de l'argent en ligne, développer une stratégie internet cohérente, ça signifie d'abord faire preuve de réalisme et s'investir, en toute connaissance de cause, dans un processus à long terme. En lançant un site, si on ne s'appelle pas Disney ou Infoseek (en mars 1999, Go.com devenait le cinquième site le plus visité au monde un mois après son lancement), on ne communique pas du jour au lendemain avec des millions d'internautes.

Sur le web francophone, réussir à fidéliser 10 ou 20.000 internautes qui visiteront le site au moins une fois par mois, constitue déjà un succès rare. Or, le trafic et la fidélisation demeurent, qu'on le veuille ou non, les seules valeurs statistiques à peu près solides et cohérentes pour rédiger un "business plan" qui ne mente pas (ou pas trop…).

On ne fait pas fortune en six mois sur le web. Mais, une fois le capital initial investi, le schéma de développement commercial qu'on peut appliquer à l'Internet permet un cycle de rentabilité plus court.

Alors qu'on envisage rarement des bénéfices avant la quatrième année d'exploitation dans un commerce traditionnel, certaines sociétés comme Francité ont enregistré des profits et entamé l'amortissement du capital investi dès leur seconde année d'exercice.

Travail à domicile !!!!!!


La première et la plus importante étape pour démarrer vos affaires basées à domicile et réussir, est de commencer tout simplement.
C'est également l'étape la plus difficile à prendre parce que nous tendons à être sceptiques et à faire des excuses pour les craintes que nous avons.
Aussi étrangement cependant, l'action crée la crainte. Après, il est important de commencer vos affaires basées à domicile le plus rapidement possible, avec un sens d'urgence.

Débutez immédiatement ! Organisez-vous pour que votre travail à domicile et vos affaires en ligne se développent. Vous ne devez pas vous inquiéter de la façon dont vous manipulez l'organisation du travail que vous avez l'intention d'établir.

La crainte la plus commune est probablement 'l’échec '. Il est important de se rendre compte que la plupart des personnes sentent la crainte à un certain degré. Ce qui est bien plus important est que vous ne la prenez pas tout seul. Analysons une partie de des craintes les plus fondamentales et regardons certaines solutions.

1) la crainte que vos prospects ou clients ne seront pas intéressés. Rendez-vous compte que c'est un jeu de nombres. Beaucoup de personnes seront intéressées par votre offre ; cependant un certain nombre de personnes ne le seront pas. En ayant affaire avec ceux qui ne sont pas intéressés, demandez simplement une référence. Les chances sont qu'elles sauront quelqu'un qui sera intéressé.

2) la crainte de ce que d'autres peuvent penser de vous. N'importe ce que vous faites ou ne faites pas, il y aura toujours ceux qui vous souhaitent le succès et ceux qui pas Posez-vous ces questions très simples, "l’entreprise que je représente, est-elle plus honorable ? Cette entreprise fait-elle une excellente valeur ajoutée dans ses produits et ou services?" si la réponse est oui, alors soyez fier de votre entreprise et de votre travail honorable à domicile, soyez fier de vous-même, et allez pour l’avant !

3) la crainte que vous n'avez pas assez de temps de faire un bon travail. Une des nombreuses forces du marketing de réseau est qu'il y a de l'aide si vous le demandez. En outre, il y a la magie de reproduire vos efforts en commanditant d'autres.
En fait, si vous êtes extrêmement occupé, vous serez forcé par le manque du temps libre, vous pouvez autoriser d’autres de conduire une partie de votre travail, parce qu’ils en profiteront eux aussi.
Par ailleurs, 'manque de temps ': est une excuse faible. C'est simplement une question d'établir des priorités et d'équilibrer son temps.

4) la crainte que vous ne pouvez pas répondre aux questions que vos prospects et clients auront. Dites simplement, "laissez-moi noter vos questions, et je vous appellerai avec une réponse demain." Est-ce que c'est simple ? Mais soyez sûr de faire ainsi.

Le succès dans le travail à domicile n'est pas réservé pour le plus doué. Il est là pour ceux qui courent après.

Gagner de l'argent avec son blog, qu'en pensez vous ?


Depuis peu, j'ai vu fleurir des articles dans divers journaux parlant de gagner de l'argent grâce à son blog en y mettant de la pub : le "monétiser"... Lors de la première lecture, je me suis dit qu'après tout.... gagner un peu d'argent en continuant à blogger avec plaisir....

Oui mais....

Oui mais cela ne serait plus un blog ! Car pour moi, un blog est libre.. libre d'expression, du choix de mes sujets, de mes pauses ou de la fréquence de mes messages ! Dans mon blog, j'ai le droit de parler de ce que je veux, quand je veux... Si je suis "sponsorisée", garderais-je cette liberté ? et les personnes qui me lisent me garderont-elles leur confiance ?

Donc finalement, ce sera non ! Je garde ma liberté et tant pis pour les sous !

Bon, de toute façon, cette question ne se pose pas vraiment, car pour attirer les sponsors, il faut être influent, avoir un minimum de 300 visiteurs uniques par jour, et écrire au minimum un post par jour...

Alors, pour ceux qui refusent que les blogs deviennent des machines à sous, et conservent leur aspect spontané, vous pouvez allez sur le blog du fin fond de la toile et mettre sur votre blog leur logo :



Blogueurs NON influents


Recommandé par des Influenceurs

lundi 18 août 2008

Deux films pour "Harry Potter 7" !


Tournages - Jeudi 13 Mars 2008

Warner Bros. vient d'annoncer officiellement qu'"Harry Potter et les reliques de la mort", l'ultime volet de la saga, sera porté à l'écran en deux parties. David Yates assurera la réalisation de ces deux films, qui sortiront en 2010 et 2011.

Quand on aime, on ne compte pas ... Warner Bros. vient d'annoncer officiellement que le dernier tome des aventures du sorcier le plus connu au monde, Harry Potter et les reliques de la mort, sera porté à l'écran non pas en un mais en deux films ! Six mois sépareront leurs sorties puisqu'Harry Potter et les reliques de la mort, partie 1 est prévu pour novembre 2010 et Harry Potter et les reliques de la mort, partie 2 pour mai 2011. Une méthode qui n'est pas sans rappeler celle utilisée pour Kill Bill et qui avait déjà failli être appliquée pour les tomes 4 et 5 de la saga magique (Harry Potter et la coupe de feu et Harry Potter et l'Ordre du Phénix) avant que le studio ne change finalement d'avis. Ce choix s'explique d'abord par la longueur du roman de J.K. Rowling, pas moins de 784 pages, difficilement transposable en un unique film de deux heures et demi. Mais c'est aussi l'occasion pour le studio d'engranger des recettes supplémentaires conséquentes.

Puissance 4 pour David Yates

On ne change pas une équipe qui gagne. Déjà réalisateur d'Harry Potter et l'Ordre du Phénix et d'Harry Potter et le Prince de sang mêlé, actuellement en tournage et dont la sortie en salles est fixée pour novembre prochain, l'Anglais David Yates s'est vu confier la réalisation des deux derniers films, coiffant ainsi au poteau Guillermo Del Toro, qui avait avoué vouloir faire partie de l'aventure. A l'écriture, toujours Steve Kloves, et à la production, toujours David Heyman. Au casting, un petit nouveau, Jim Broadbent, dans le rôle d'Horace Slughorn, rejoindra Daniel Radcliffe, Helena Bonham Carter, Emma Watson et tous les autres.

Jean-Maxime Renault avec Variety

The Dark Knight

Le personnage de Batman, après avoir été traîné à plusieurs reprises dans un bidon de couleurs flashy et passé à la moulinette de l'auto-parodie, s'est vu offrir un retour au sérieux en 2005 avec Batman begins. Christopher Nolan, artisan de cette résurrection, a pris le temps d'un film complet pour retracer la genèse du héros ; on pouvait regretter l'absence d'un antagoniste digne de ce nom (l'Epouvantail et Ra's al Ghul étaient traités comme des figures secondaires), mais les bases étaient posés pour une suite plus pêchue, et le Joker était annoncé comme étant de la partie. Depuis, on se souvient de l'annonce de Heath Ledger comme interprète du clown criminel, de l'incrédulité des fans suivie de rumeurs élogieuses sur son incarnation, puis de la mort tragique de l'acteur en janvier 2008. Une fois le film sorti aux Etats-Unis, il a provoqué un raz-de-marée en salles, expliqué en partie par la présence à l'écran du jeune acteur récemment décédé. Faut-il pour autant voir dans The Dark Knight un classique du cinéma, ou même Harvey a une Dent contre les criminels
Harvey a une Dent
contre les criminelsdu film de super-héros ?...

Gotham City est sur le point d'être soulagée de ses réseaux criminels : d'un côté, Batman (Christian Bale) fait le ménage dans les rues, et enraye la circulation d'argent des gangs ; de l'autre, le nouveau procureur Harvey Dent (Aaron Eckhart) trouve le moyen d'amener sur le banc des accusés tous les hommes de Marconi (Eric Roberts), le successeur de Falcone. Tous deux sont soutenus dans leur lutte par le lieutenant Gordon (Gary Oldman). Pendant ce temps, un homme émerge de l'ombre, menaçant de faire sombrer la ville dans une folie nouvelle : le Joker (Heath Ledger).

La notion maîtresse, dans ce Batman nouveau, c'est la noirceur. A tel point que les traducteurs français ont cru bon de traduire le titre par « Le chevalier noir », en réponse probablement au surnom de « Chevalier blanc » donné à Harvey Dent dans le film ; pourtant, Batman n'est pas l'opposé de Dent, il est son alter ego de l'ombre, celui qui peut agir en dehors des lois et des règles. Il est celui qui, par son attitude hors-norme, a permis l'apparition d'un barjot comme le Joker ; le thème était affiché dès la dernière scène de Batman begins : le yin amène le yang, l'anormalité entraîne la bizarrerie. Prenant conscience de cet état de fait, Batman développe une culpabilité galopante, s'interroge sur la légitimité de son existence et sur la conséquence de ses actes. On retrouve finalement ici une Même pour la photo, je ne souris pas.
Même pour la photo, il ne sourit pas.thématique assez comparable à celle du Iron man sorti en avril, si ce n'est que Tony Stark apparaissait véritablement comme l'alpha et l'oméga de la violence qui l'entourait, alors que Bruce Wayne a pris l'initiative de corriger un monde qui ne l'avait pas attendu pour être pourri. Poussé par un Alfred plus complexe que d'habitude (Michael Caine, trop classe pour être un simple majordome) et épaulé par un Lucius Fox qui commence à prendre ses distances (Morgan Freeman, trop classe pour être un simple employé de Wayne Enterprises), il prend la justice dans ses mains et cultive successivement le mystère, le secret, la dissimulation, le mensonge. En face de lui, le Joker s'impose comme une entité primaire, dont le but unique est de s'amuser pour dissiper son intense mal-être intérieur...
« You either die a hero, or you live long enough to see yourself become the villain. »

Si les films de Joel Schumacher réduisaient le personnage à une figure disco dérisoire, ceux de Christopher Nolan ont au contraire tendance à prendre leur sujet trop au sérieux. The Dark Knight, dans son traitement réaliste de la guerre qui oppose les gangs à la justice, fait davantage penser à Heat ou à American gangster qu'à un Spider-man. On gagne en solidité narrative ce qu'on perd en fantaisie, et on troque le Joker hilare de Jack Nicholson contre la boule d'angoisse Il peut jouer aussi bien au tarot qu'au taré
Il peut jouer aussi bien au tarot qu'au tarémaladive de Heath Ledger. Mais au bout du compte, l'histoire est la même : l'ordre, le sérieux, la rigidité contre le chaos, le rire, la liberté. La différence, c'est que ce Dark Knight aime à développer ses thèmes en de longues tirades explicatives sur la fine frontière entre le bien et le mal, l'ordre et le chaos... Le scénario est malin, bien écrit, et ménage de vraies plages de suspense que la réalisation exploite habilement. Les acteurs sont excellents (on déplorera simplement le remplacement de Katie Holmes par Maggie Gyllenhaal, vilaine et peu attachante), et ont tous droit à leur espace d'expression ; on peut même trouver que le Joker souffre de cette multiplicité de personnages secondaires, et manque de temps de présence pour répandre sa folie. A l'arrivée, les 2h27 s'avalent sans peine, mais un constat s'impose : si Tim Burton était le Joker, Nolan est Batman. Le film est spectaculaire, intelligent, carré, mais il n'est ni drôle, ni fou. On en vient presque à espérer la présence de Robin dans le troisième volet, histoire de rigoler un peu.

dimanche 17 août 2008

Google declares a war on Microsoft !


With the launching of Google Apps Premium, Google declares a war on Microsoft. Office automation was until then the kept hunting of Microsoft but it was without counting on the appetites of power of Google. Let’s return on this economical warfare between the giant of the Web and the giant of software...

Google is tageting the Microsoft’s customers:
The advertisement made a bomb effect : for the first time, Google attack directly the Microsoft empire. Objective: to seduce SME with a turn-key solution. The target is exactly the same one as that of the sworn enemy Microsoft.
Since last year, Google already proposed various collaboratives solutions on line but the firm has this time decided to join together its various applications in a pack and to propose it to companies. Cost of the solution: 50$ per annum and by user. For the occasion, Google thus modified its business model by proposing for the first time a paying solution.
The applications already suggested in the free version of Google Apps are:

* Gmail : Google webmail
* Google calendar : diary
* Google Talk : system of voice on IP
* Google Docs & Spreadsheets
* Google Creator Page : development tool of Web sites

The paying version offers the following advantages (see article of GNT):

* Space storage by user of 10 Go against 2 Go for the free version
* the API which allow companies to integrate the Google applications in their information systems
* An hotline 24h/24 and 7j/7

Google says the free version has already seduced 100 000 customers among whom General Electrics, Procter & Gamble, Médiamétrie, Essilor, the hospital of San Francisco... the goal for Google is to convince them to adopt to the paying solution. The first user of Google Apps being of course Google itself and its 10 000 employees.

Frontal competition with Live Office:
Last November, Google had already cheek Microsoft by announcing 24 hours before the launching of Office Live its solution then baptized "Google Apps for your domain".
Google has 2 strong arguments to grant the market controlled by Microsoft: the price first of all because the licence of Office Live premium cost 40$ per month and per user whereas Google Apps costs only 50$ per annum. In addition, the software suggested by Google is collaborative, each member can modify the working papers.
Google also counts on the ease of use by hosting the solution and carrying the maintenance out. Unknown factor: will the companies be ready to store significant data on the host of Google?
One can also envisage a nearest integration of wikis for companies (thanks to the acquisition of Jotspot) and of a software of presentation like Power Point (see article on Presently)

Google and Mircosoft: opposite strategic models
Microsoft is software's leader and doesn’t hope to migrate towards "whole Internet". As opposed to what one could think, Office Live isn't an on line version of the office soft but simply a pack all in one bound for SME.
Microsoft’s success is due to its operating system and to the interworking of terminals (PC, mobile, console...). Microsoft thus carries out a strategy in order to impose on each terminal the use of a single OS: Windows!
Google rely on the “whole Internet”. The firm wants to reduce the importance of PC to provide on the Web services covering the functionalities offered by Microsoft. The interest of Google is to develop the Web access and the small terminals.
Google recommends a system without hard disk where all the data and applications would be accessible on line thanks to any terminal.
This is why the negotiations with the mobile operators are so strategic and are subjected to plays of influence.
The fact that Google provides for free the wi-fi to San Francisco is perfectly in phase with the objectives of the firm. The providers have fully their role to play in this war for the leadership of data processing and Internet. And the latter are for the supporting Microsoft.
In many ways, Google is in competition with providers: it’s the case for example with YouTube and Google Video, direct competitor of the VOD systems.
In the same way, the payment system, Google Checkout, doesn’t delight providers. However Microsoft negotiates with providers while collaborating on software development. That’s why Google could become a provider in order to defend its own interests.

An indirect strategy of destabilization?
11 billion dollars! It's the revenues of Microsoft thanks to the Office software. More than the turnover of Google in 2006! In addition of developing its incomes, Google perhaps seeks to destabilize Microsoft to increase its control of the Web.
By frontally attacking Microsoft on its ground of predilection, there is no doubt that Bill and its assistants will have to spend money on a sector which they thought acquired. They will be diverted of the Live Search development, principal threat for Google. One of the tactics of Google could consist to make diversion to crush Live Search.
In the history of Microsoft, Google is the most serious competitor. With 150 billion dollars of capitalization, more than 10 millions of treasury and thanks to its Web influence, Google is the only actor able to hustle Microsoft.
The two entities affirmed hitherto that their skills weren’t in direct competition. But Google made an other decision by taking the offensive.
It was inevitable that a war bursts between the two giants, and it’s difficult to say which one will win!

Business to be followed...

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samedi 16 août 2008

amandalinefirst